Fred Breinersdorfer et Jean-Jacques Annaud a Moscou

CV FRED BREINERSDORFER, FRANÇAIS

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fred_Breinersdorfer

Né en 1946, il a fait des études de sociologie et de droit. Jusqu’en 1994, il était avocat à Stuttgart. Comme auteur, il a fait ses débuts en 1980, chez Rowohlt avec le roman “Reiche Kunden killt man nicht” (Traduction littérale : “Les bons clients ne seront pas tués ”). Dès 1994 DER SPIEGEL mentionnait Fred Breinersdorfer comme l’un des plus importants scénaristes d’Allemagne. Son œuvre consiste en plus de 85 scénarios réalisés – en outre plusieurs de ses films sont également diffusés par ARTE en France –, romans, pièces de théâtre et autres œuvres. Le film “Sophie Scholl – les derniers jours” dont il a écrit le scénario et en tant que producteur a connu un succès mondial et a été nominé par l’ Academy Award 2006 (Oscar), dans la catégorie « Foreign Language Film ».
Fred Breinersdorfer a poser sa candidature pour le Bundestag pour la SPD en 1994,  il est également l’ancien président du Syndicat des Écrivains  d’Allemagne (VS) et membre du P.E.N. international.
Fred Breinersdorfer a deux enfants, Léonie-Claire, sa fille, qui est scénariste et avocate comme lui et Julian, architecte.
Le traducteur Jean Paul Schweighaeuser écrit dans Mystère 91: “Mais après sept romans, sans compter les nouvelles et les scénarios pour les épisodes de séries télévisées (TATORT), Fred Breinersdorfer a attaqué un projet qu’il estime plus ambitieux et qui est publié en 1986 en forme de “roman documentaire”: Der Hammermörder. Ce livre, basé sur des documents, raconte l‘ histoire du policier Norbert Poehlke, découvert mort avec son jeune fils près de Brindisi, et qui se révélera être l’auteur d’assassinats et d’attaques de banques perpétré en Allemagne. Cet aboutissement n’est pas étonnant puisque cet auteur se dit avant
tout « intéressé par les gens qui quittent les voies de la légalité et surtout par les motivations et les raisons qui les poussent ». Interrogé par le « Taschenbuch Magazin » en mars 1987, il a déclaré : « Cela fait longtemps que je ne m’intéresse plus à la question “Qui est coupable ?” mais plutôt à l’être humain qui se rend coupable d’un crime.»